Open Source Pro 9 : Les DSI unissent leurs forces pour un numérique souverain

Open Source Pro 9 : Les DSI unissent leurs forces pour un numérique souverain

Un sincère merci à tous pour votre présence à la 9ᵉ édition d’Open Source Pro !

Ce fut une soirée forte, difficile à résumer en quelques mots tant elle fut riche en échanges, en débats sans détours, en convictions partagées.

Nous sommes fiers d’avoir réuni autant de décideurs IT autour d’un sujet essentiel :
Reprendre le contrôle de notre environnement numérique avec des solutions open source, éthiques et souveraines.

Les discussions ont été franches, parfois vives, mais toujours sincères. Elles ont mis en lumière les difficultés, les freins, les combats déjà menés, et surtout l’espoir que nous ne sommes pas seuls à porter.

Car oui, l’open source est un combat. Un combat semé d’embûches, face à des géants américains d’une puissance colossale. Mais hier soir, nous avons vu que d’autres partagent cette volonté : imaginer un futur numérique libre, durable, ouvert à tous, et non contrôlé par quelques-uns.

Pour cette édition, nous avons voulu mettre en avant :
- la faisabilité réelle d’une sortie de Microsoft 365, grâce à des retours de terrain ;
- les obstacles et les réussites déjà concrètes ;
- et surtout, l’importance de disposer d’un espace d’échange où les DSI peuvent partager leurs défis présents et futurs.

Merci aux intervenants qui ont enrichi ces débats de leur expérience et de leur vision :
Emmanuel Sardet, Président du Cigref
Audran Le Baron, Ministère de l'Éducation nationale
Alain Issarni, Directeur Général de SCIAM
Simon Uzenat, Sénateur du Morbihan
Philippe Latombe, Député de la première circonscription de la Vendée 
Arno Pons, Délégué Général Digital New Deal Foundation
Alexandre Zapolsky, Président de LINAGORA
Michel-Marie MAUDET, Directeur Général de LINAGORA

Le Club DSI Open Source Pro n’est pas seulement un événement. C’est une communauté engagée, qui croit qu’un autre numérique est possible : souverain, collaboratif et au service de tous.

Et ce n’est qu’un début.